Tri des déchets
Suite à un mouvement de grève lancé depuis le mardi 15 juillet par les employés de la société Le Relais, les collectes de textiles usagés dans les bornes sont suspendues jusqu’à nouvel ordre.
Flash infos
Tri des déchets
Suite à un mouvement de grève lancé depuis le mardi 15 juillet par les employés de la société Le Relais, les collectes de textiles usagés dans les bornes sont suspendues jusqu’à nouvel ordre.
Les politiques publiques
Article L5216-1 du code général des collectivités territoriales : « La communauté d’agglomération est un établissement public de coopération intercommunale regroupant plusieurs communes ... [qui] ... s’associent au sein d’un espace de solidarité, en vue d’élaborer et conduire ensemble un projet commun de développement urbain et d’aménagement de leur territoire. »
Ses moyens d’action sont en particulier les 22 compétences dont la première est le développement économique. Ce n’est donc pas un hasard si le projet de développement économique de ce territoire, pour lequel ils ont reçu mandat d’élaborer et conduire un projet commun, est au cœur des ambitions des communes et de leurs représentants au Conseil Communautaire de Cap Atlantique.
Les objectifs économiques, tels qu’ils sont formulés dans le Plan d’Aménagement et de Développement Durable du SCoT arrêté de Cap Atlantique, sont :
Ces objectifs comportent donc un accroissement du taux d’activité (proportion d’actifs au sein de la population). Ils se traduiraient par une diminution tendancielle à long terme du taux de chômage et un taux d’emploi (rapport entre les emplois du territoire et les actifs résidents) en très légère augmentation.
Les moyens principaux au service de ces objectifs du développement économique de Cap Atlantique sont :
L’économie de l’espace souhaitée par le SCoT aboutit à un objectif de valorisation économique du tissu urbain existant et se traduirait par une création d’emplois en même nombre dans les parcs d’activité et dans le tissu urbain existant. L’atteinte de ces objectifs suppose donc, à la fois, une politique de création à long terme de parcs d’activité, mais également des mesures d’urbanisme facilitant l’utilisation maximale du tissu urbain existant (tertiaire, commerce et services). Dans ces conditions, si l’on suppose un développement intensif des créations d’entreprises et d’emplois, un chiffre moyen de 20 emplois à l’hectare peut être retenu (desserrement des entreprises, extensions, relocalisations et transferts, créations pures), le besoin global à 2030 est un peu supérieur à 150 hectares pour les surfaces dédiées à l’activité hors de « l’enveloppe urbaine » actuelle.
Le schéma d’accueil des entreprises décidé par le Conseil Communautaire doit permettre de traduire ces objectifs généraux en stratégies et programmes d’action opérationnels.
L’économie touristique au sens large (touristes, excursionnistes, résidents secondaires, bi résidents) que l’on qualifie parfois d’industrie du territoire se voit quant à elle assigner un triple objectif :
Enfin, l’économie primaire (agriculture et métiers de la mer) demeure une activité économique à part entière forte et identitaire du territoire. Sa préservation au travers d’un développement maîtrisé est un enjeu fort du territoire. Elle fait l’objet de développements spécifiques ailleurs dans le site.